Vous avez travaillé votre morceau à la guitare.
Vous avez travaillé votre morceau au chant.
Mais lorsque vous tentez de faire les deux en même temps, tout s’embrouille, tout se décale.

Pour de nombreux guitaristes, l’utilisation du petit doigt est une hantise.
Il est plus petit que les autres, moins costaud, moins agile… tant de raisons de ne pas l’utiliser.

On entend souvent dire de tel guitariste que c’est un musicien talentueux.
« Il a de la chance d’être aussi doué ! »

Mais tout le monde n’a pas la même perception de ce talent.

Est-ce un don, une destinée, une voie tracée d’avance ?

Une grande majorité des guitaristes qui savent improviser sur leur instrument ne le font pas de manière totalement libre.

Ah, qu’est-ce que ce serait bien de ne plus jamais jouer de fausses notes !

Mais avant d’entrer dans le vif du sujet, une petite question s’impose…

Quelle différence y a-t-il entre le mauvais guitariste et le bon guitariste ?

Qui n’a pas vécu cette appréhension, au moment de débuter la guitare, de devoir serrer les dents pour supporter l’assaut des cordes métalliques sur ses pauvres doigts fragiles ?

Vous avez beau tout tenter, il n’y a rien à faire, votre médiator ne veut pas rester à sa place ?

Il glisse, il tourne, et il finit par se jeter lamentablement sur le sol pendant que vous devez tant bien que mal continuer de jouer sans lui !

Les « ghost notes » ou « notes fantômes » ne sont pas des notés jouées toutes seules par l’opération du saint esprit.
Il n’est pas non plus utile de mettre un drap sur la tête pour parvenir à jouer ces notes.

De manière universelle, qu’est-ce qui fait vibrer les gens lorsqu’ils écoutent de la musique ?

Qu’est-ce qui leur donne envie de remuer la tête ou de taper dans les mains ?

Voici une astuce très simple à mettre en œuvre et que de nombreux guitaristes, même d’un niveau avancé, ne pensent pas toujours à utiliser.

Elle concerne la façon de placer ses doigts sur les cordes pour optimiser l’efficacité de l’appui.